°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°




 
Love Machine est un terminal informatique automatisé. Il considère, dissèque, examine le comportement humain, et plus particulièrement le comportement amoureux. Cette station robotique trie, analyse et calcule sans marge d’erreur des centaines d'informations vous concernant. Son seul but : vous faire rencontrer l'amour parfait, car votre bonheur fait celui de Love Machine.

Dans cet univers comique et burlesque plusieurs histoires s’entremêlent et nous racontent les changements qui s'opèrent silencieusement dans notre société. Les personnages s'accrochent et glissent les uns après les autres vers ce genre nouveau qui leur tend les bras : le monde de l'hyper connectivité. Dans la sphère grotesque que leur propose Love machine, être seul devient une maladie. Alors chaque personnage entretient une relation particulière avec la machine. Entre l'homme et l'appareil électronique, on ne distingue plus le maître de l'esclave.
Love machine ou comment une entreprise prend le pas sur notre quotidien, essayant de corrompre nos valeurs.Pénétrer les cellules du cerveau à coups de publicité pour vendre un produit à tout prix. Vendre. Vendre une voiture, vendre un voyage, vendre un rêve, vendre du rêve, vendre de l'amour, vendre l'Amour. Le capitalisme des sentiments : C’est ça Love Machine.

Cette nouvelle ère, celle d'aujourd'hui, nous la racontons avec humour.
Il s'agit d'une comédie ballet comme au temps de Molière, où le ballet est remplacé par la publicité. 


 



 De et avec: Juliette Damiens et Florent Martins
Création musicale: Julien Rouquette
Création décor: Mathieu Damiens
Création costumes: Alice Damiens
Création affiche: Etienne Lescure
 Durée: 1h


..........................................................

..........................................................


https://www.facebook.com/lovemachinespectacle

°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°°